pour parler
ce qu’on allait faire
à des capacités
à travers l’hiver
corps où un coup de coutume
ou de couteau
et de l’y d’aller
se coucher dans la neige
le chemin le plus court pour aller
dans l’autre monde
il y en a une, il est
i n a u
dans l’au-delà
à l’aube, a lieu
et pense de plus en plus au mot
pas un mot, la neige
sur le dos se met à tomber
au pied des arbres, l’arbre
parallèle à un autre
détournante la tête
il a plu le dessin
ou au / bord des flots
pas d’autre pensée
que celle de chercher
comme on en ou au
rencontre encore de
le dessin, si jamais
ça arrive avec les vapeurs
pour écouter les oiseaux
et vous avez et vous aurez
le cadre
dans lequel nous sommes représenté
donner un nom au nouveau-né
ce qui a fait que deux êtres doués
vous aviez le temps de voir
et d’avoir et de l’avoir
de voir et d’avoir
et pour l’avoir chez toi
choeur de la cathédral de Rouen
par les rues pleines de silence
de la jeunesse du poète
Est-ce que ce seul mot
au lieu de s’en aller de voir et d’avoir
l’autre, comme une autre
il y a avait de l’un à l’autre
nul, et du nul au vide
à ce je ne sais quoi
en un lieu, n’est-ce pas
presque en inventer un autre
recueils comme/comme
et en rhythmes multiples
plus que la plupart
pièces sans titre
de blé
d’idée
débris
au son du violon
histoire intime
une passion qui dure
jusqu’à là l’air
il en est un peu de l’air
des lieux sur les livres et de celle
des livres sur les lieux
tout est noir
la couleur de l’air elle-même
aspect austère et dur
en lui-même
en soi-même
n’a qu’un seul
prendre peu de part aux discours
de nudité et de brutalité
il était là comme ça
ce qui reste à coté de ce qui passe
j’étais
jetées à coté
par cette fenêtre
aux vieux portraits muets qui vous
regardent, aux tombeaux vides et
qu’ils se murmurent dans leur cadre
la trace du flot qui est venu
qu’il y en a eu
la poésie
la compagne qui l’environne
autour de lui
presbytère de X . . . a écrit
ce vers, sans cesser d’être
un anonyme
DEUX SEULS MOTS
perdus sous les flots
le romantisme
ces simples noms d’inconnus
cette autre
et pour rappeler ce qui a fui
cela est et cela n’est pas
monument de l’orgueil
LES DEUX SEULS MOTS
quelque chose de la fusion
ce serait celui de prose chantée
ne pas entendre
l’arcade et la couleur
qui va de l’une à l’autre
Non loin de là
autour d’un axe
l’extremité intérieure de l’arc
sens dessus dessous par un
il y a des heures où l’on
est en un peu de calme
aux questions de nos yeux
là, muets, dans leurs cadres
inconnu d’une
et puis d’autres
et d’en avoir ça
ils restent là
leur toile, où l’on et l’on se demandera
ce qu’on . . .
une nuée
à l’italiènne
quelque chose d’analogue
à m’empêcher de ne m’y pas mettre
Cléopatre
aux porcelaines, l’un après l’autre
à coté des blés
en un mot
vue de dos
le sud
le soleil
tourne comme ça
d’autre ici
cette pièce
qu’est-ce que je peux faire pour toi
les different façons de dire
bonjour à quelqu’un
il y a autre chose
il y a quelque chose
il y a une femme
elle veut dire quelque chose
n’est pas quoi
aucune idée de ce quoi s’est passé
à la fin de cette semaine
vous avez tous compris
ce n’est pas possible
pas d’importance
en quoi / pour la même travail
pour participer
quel dimanche
dimanche prochain
à la fin de cette semaine
à la fin de la semaine
dans ce cas il n’y a plus de dire
je ne pense pas
quand / à quelle heure
à la fin de la semaine
quelque chose perdue
éléctrique
votre départ
si je comprends
lundi prochaine
le silence entre deux
n’est pas un silence
le silence autour le mot
chaque mot / aucune
expression et en plus
si vous avez besoin de quoi ce soir
quelle heure est-il
il faudra
un instant
votre place
à ce moment là
c’est un objet
(une fenêtre)
et le mot qu’on se pense et “fenêtre”
c’est moi
moi aussi
je m’appelle “__________”
où donne le soleil
le sud, où est le sud
il doit être là
le soleil tourne
trois ans
chacun et quelle
est la surface totale
rien que dans cette pièce
où il y a assez d’espace
le nom des objets
il y a des choses
j’étais sur d’avoir vu quelque chose
à l’air d’aller
là à attendre que le téléphone sonne
j’ai étudié les chiffres
il y a différentes manières
d’exprimer le future
je verrai . . . je vois . . . je vais voir
seul la plupart le temps
“Ce n’est pas ce que je voulais dire”
j’ai quelque mots à vous dire
une fois
une confiance
mal connue
tous ensemble
si la tête
si la rencontre
un plaisir tranquille
je ne me souviens encore
et de sa propre connaissance
lointain de demander
replète / remplis
l’air libre
inconnue
manière vainçu . . .
(quelle séduction)
pas trop mauvais
me semblait toute naturelle
un jour
elle dit une fois
vous êtes bien?
c’est tranquille ici
comment . . . pourquoi
mais alors dit-elle
l’un par l’autre précipité
faible comme un homme
encore un an
quelques instants
assez robuste
une tasse de thé
il est bon n’est pas
étérnité ambigue
un certain ciel
assez bien c’est vrai
qu’est-ce que c’est
le coeur / choeur
ce qui tu manques
ou ce que devenir plus
le sens
tous me plaisé
mais qui donc
parler de plaisir
ce qu’il y a
il y a là
ce qu’il y a
c’est la couleur
il y en a une
qui nous n’avions pas
un bon matin
et de la même
manière et de
temps en temps
un jour en partir
de ce moment
la tête tournée
ce n’est pas la peine
au milieu de la débacle
dans la vill
*
il fait si chaud
un peu plus pour
n’est pas elle qui dors
qu’est-ce que tu as
encore une fois d’un autre
soir qu’est-ce que tu as
pensé
encore une fois d’un autre
qu’est-ce que tu fais
demain seule, en passant
assez bien pas pourquoi
elle disait la disparue
elle sourit demeure dormir
la bouche embrasse-moi
pas de faim
*
allumée de l’autre
alors dit-elle par la parole
mépris de l’homme
chaud d’eau
bon place de sommeil
soleil deux
la bouche est ouverte
à rien compris
chaque fois de passé
j’ai toujours tant
combien fois en la regarde
volupté pas expliqué
le côté quand même
sa gratitude
qu’elle dit
qu’est-ce que tu as
et ça va
*
dans l’ombre
l’obligatoire où les a
la lumière légère
je comprends
son sourire
demande bien
besoin besoin
peut être de l’émotion
et toi quand même
mon existence
quelque chose du mal
qu’est-ce qu’il y a encore
repésente ci repésente
ça
chapeau en l’entendu
et suivante toute est là
et qu’est-ce que tu as
fait parmi des idées
j’espère que
c’est égale
*
cette lettre
quelle lettre
il me semble
qui ça n’est pas n’est as
pas plus j’ai vous
voulu (elle n’y a plus moi)
la complaisance
et personne ne
sourit d’automne de
soeur est-ce que tu deviens
disparue
savez-vous que c’est
c’est comme ça comme moi
la vue de la maison
tu me cherches
cherche son bois
n’importe image
endormi dans
le spectacle
qui soit personne
qui c’est . . . personne ne sait
dans le lit c’est lu
comme un seul
c’est tu
c’est pas de chose à faire
qu’est-ce qu’il y a donne
qu’est-ce que tu as
le feu peut être
ou la fenêtre
*
Je comprends un peu. How do you tell someone you don’t understand. Ask me how I’m feeling. Do you remember How do you go? Je vais. Travaille. Travailler. Ask me again how I am. How would I answer. Not well. How would I tell you that I don’t understand. Je ne comprends pas ce que s’est passé. Practice the feminine form of the word. Ask the young woman est-ce que vous êtes. Did you notice the Z sound. It is a disappearing S. Say you are. Vous êtes. How would you say that if you are a woman. I am a disappearing S. Repeat how the woman would say this. Practice the contrast. Français. Française. How would I answer. Don’t answer for her. Don’t say it for her. Say it another. Suppose you wanted to ask, Et vous? Say to the woman, Pas Americain. Did you notice the Z sound. What does it show you. Where is the vowel. Et vous? I’m not French. Mais je comprends. Je comprends un peu. Ask a man the same question. No ma’am. Est-ce que vous comprenez le français un peu? Pas bien. Play. Plait. S’il. S’il vous plait. Say: you are. Say: I am. Say: I don’t understand.
I am not an American. Je ne suis pas un. You don’t understand. Say to a woman you are not. Et vous? Est-ce que vous êtes ton plein? Ask: are you well. How does it go. Pas mal. No, I’m not well. Je ne vais pas bien. Please. Are you American. Est-ce que vous êtes Americain. This is a common expression. Mais oui. Non. Comprends pas bien. Un peu. Imagine that. Imagine that you see her far away. Imagine that you want to say to her how she is. Ask her if she understands. Est-ce que vous comprenez? How does she tell you that she doesn’t understand. Now she’s going to ask you a question and you refuse to answer. Est-ce que vous êtes Americain. You better add, un peu.
Maybe you better say or listen to her reaction and respond to it. She’ll repeat part of what she said.
She sees a friend and runs off. Look at the first word and read it out loud. Bonjour! Listen to their conversation. Sometimes they say Si instead of Oui. Do you remember how to greet someone. Say again Hello. How do you ask someone, Comment allez vous? Je vais bien. Now say, Pas très bien. Ask again. Comment allez vous. Try to say that I’m not well. I don’t understand. Say it emphatically. Est-ce que vous êtes Americain? Mais oui. I am not American. Tell the person you’re American. Practice the distinction. Ask me if I’m American. How could I answer. I am not American. Ask the young woman if she is French. How does she tell you she doesn’t understand. Here’s how to say, parler. You understand?
You go well. You speak well. You are well. Parle. Je parle. Je parle un peu. Say mais. Je ne parle le pas. Paix. Je ne parle pas bien. Est-ce que nous allons parler un peu? Now referring to yourself, say Je veux parler. Practice saying it. And now the street. La rue. All French nouns are either one or the other. You try to say the street. Here’s how to ask where: où est. Où est la rue? The street. Here’s the word for boulevard. Bavarder. It’s here. Ici. Practice the word here. It is. C’est. What part of that is. What is it. The street. Ici. Que’st-ce que c’est? C’est ici. Try to say that. Reply that it’s here. Ask again, is it here? Try to say no, it’s not here. Ce n’est pas ici. Here’s how to say, là-bas. C’est là bas. It’s here. It’s not down there. Ask again. Où est la rue. Is it here. Est-ce que c’est ici? Say things. Un peu. Très bien. I’ll tell you how to respond. Tell her it’s down there. Blanche chante. L’enfant danse. Sans dents. Singe. Songe. Je tends. Le monde. Dedans. Le linge, la fange. Do you remember how to say, Hello?
2.26
le fardau:
abondonner
rester
une capacité
abolir
absolu
absorbant
s’abstenir
accepter
acceptable
accomplir
une connaissance
adorer
avancer
un conseil
se permettre
d’avion
une alarme
semblable
permettre
seule / solitaire
étonner
suffisant
ange / ancre
en couleur
animé
annoncer
une réponse
une appareil
demander
endormi
aider
supposer
l’attention
attrayant
attribue
disponible
une avalanche
se venger
moyenne
éviter
se reveiller
desormais
maladroit
le mauvais temps
supporter
battre
la beauté
manger
se comporter
la conduite
meilleure
une bicyclette
la naissance
amère
une tache
souffle
une esclavage
une ligne
(de demarcation)
l’ennuie
la limite
une boite
une branche
le cuivre
casser . brisser . rompre
lumineux
vif / vive
fragile
calme
une compagne
une boite
Canadiènne
la bougie
capable
le capitalisme
captif / captive
un soin
(soigneuse)
découpée
attraper
circulaire
une horloge
une nuage
un départ
un moteur
l’anglais
evaporée
eventuellement
un plus
un prénom
un vol / la glace
une identité
un carrefour
la foudre
permanente
la poudre
la pluie / le prix
un chemin
(de fer)
un signe
seize / la neige
une tempête
une escalier
une gare
une camion
une semaine
une femme
*
la puce:
j’ai soif
c’est toujour la même
ou comme ça
qu’est-ce quelle chose à faire
de faire encore une question
avec un jardin de bon rapport, la fois
que je reçois la ressemblance
que l’un est fort et l’autre faible
ce que je vous dis là, ce que tu dis là
n’est pas, et en point de venir
peu à peu tout ce qu’on s’était promis
de faire un peu de ce que
deviendrait de ne pas rendre
les choses comme on n’aime guère
à contrarier
de se disputer et de se battre
idée du départ,
elle se jeta à bas du lit pour aller
l’embrasser
et qui se dit que ce serait
signe de s’observer
comme si c’avait été
des choses de consequence
un peu plus bas, un petit peu
sans mot dire et sans en parler
et ne se voir comme l’autre
un quelque autre
quelque autre chose
quelques moments de plus
avec l’objet d’un image
*
le fardeau:
un auteur
prendre un bain
une plage
beige
bleue
un apareil de photo
le papier carbon
une carnivalle
une catégorie
une cathédrale
une cimitière
une chaîne
une poitrine
les enfants
une cloche
un menton
un choix
s’étouffer
choisir / cendre
un circuit
le code
s’effondrer
entrer en
collision
un comité
composer
comprimer
un ordinateur
un concept
se rapporter à
concluir / copier
condamner
la confiance
confronter
confondre
rassembler
un congrès
conjuguer
consacrer
se débrouiller
une consonance
une contrainte
une convention
une conviction
correspondre
le coton / contresigner
écrasser / vide
diminuer
deduire
vaincre
defendre
remettre
exiger
meriter
la discipline
salle
un tourchon
une distance
ranger / un robe
employer
un chapeau
un pousse
une ancre
un lac
une chasseure
stenographie
une jupe / une
chaussette
se marin / se
marine / bois
jaune en levant
une fondement
quatrième
une fraction
fragile (cadre)
une fronge
foncer le sourcil
une fonction
fournir / un plus
l’avenir (une
gallerie / jardin
l’or) un gant
l’herbe / éflourrer
chagriner
la terre
au secours
un enfant
blessé
un gosse
un avocat
le cuire
un citron
*
Il y avait un jour dans le chambre des ordinateurs à l’école où je travail une jeune femme prochaine de moi qui était cliquer avec impatience (ou passion, c’est la même chose, n’est-ce pas?) sur les photos des jeunes hommes à ce site s’appelé ROMANCE. Après quelques temps, elle cliquait sur un site des nouveaux autos. Je crois vraiment que cette machine, l’ordinateur, nous transformerons à automatons de désir mais le désir que l’ordre de nouveau monde s’enforcer: c’est à dire, tout le monde et tous les choses et chaque personne n’ont pas d’humanité, et aucune personne sans visage et sans voix et sans corps peut sentir la croyance fondementale et nécessaire pour chercher et rechercher la possibilité et même peut être l’impossibilité de l’amour. Qu’est-ce que c’est que ça si ce n’est pas une question du vrai ou le faux, mais quelle espèce de monde nous habitons et je propose que tous les émotions individuelles dans notre monde à ce moment dans l’histoire d’humanité ne sont pas bien soutenir par cette machine, l’ordinateur, si l’ordinateur c’est le seule instrument de “interface”. C’est le visage et le visage seulement et non pas l’image dans laquelle l’émotion individuelle est soutenu. Tout le reste représente un conflit méchanique, ou psychologique, dans un éspace virtuelle où la lutte entre la puissance et la faiblesse remplace la lutte pour le nouveau monde. Dans la lutte pour un monde meilleur au niveau de l’art ou la politique, je crois que tous les émotions anciennes sont possible. C’était dans cette contexte que j’écrirais ce que je crois au même temps que je connais l’absence et le sens vide dans ces mots loin du visage et la voix s’appellé “moi” ou “ma vie” se rendre inutile aucune expression. Donc, je suis été en train de devenir un spectre, quelqu’un sans voix et sans visage est-ce que possible? Je dors maintenant, et je dors longtemps. Je veux oublier l’année passée et l’expérience de devenir un objet, une adresse, quelque chose sans visage et sans voix. Impossible. Pourquoi? Je ne sais pas. Est-ce que possible que vous aviez perdu votre nom? Je ne sais pas. A ce moment je ne sais rien au sujet de l’année passée, sauf que ma vie est tout à fait changée sinon abandonner cette ville de mon exil. Quand j’étais vraiment ici, dans cette ville, j’ai écrit comme si j’ai eu plus de visage et voix, plein voix, en plein voix, mais je crois que les ravissements et les ravages de cet espace éléctrique ont prit je ne sais exactement, tout ce que j’ai pensé de connaître? C’est possible que le monde, ce pauvre monde, est plus réel et non moins comme résultat? Il faut que nous nous rappellions au même temps que c’était Ruth Berlau qui trouva pour les autres le nom
ensemble et pour elle sa vie et même sa travaille sont plus ou moins oubliée comme vous voudriez oublier cet année passée. Je crois que pour vous cette idée de resusciter cette femme représente au même temps un projet culturel et politique. C’est à dire ce project signifie un effort à votre part de resusciter vous même, de changer la vie, de changer votre art. Est-ce que possible? Je ne sais pas. Mais je crois que c’était impossible de rester ici. Au demain, la Vôtre.
p.s. Au sujet de la nécessité de changer votre art, est-ce que possible à ce moment où les mots, tous les mots, la langage dans laquelle vous avez eu l’illusion d’exister jusq’uà maintenant, sont perdu comme un enfant dans la guerre? Le monde n’est pas le même, bien que les gens ressemblent les gens, les batiments ressemble les batiments, mais les mots de votre langage habituelle ne ressemblent pas eux-mêmes, et il y a alors plus de silence et plus de bruit, plus vide et plus fermé, dans les rues et dans votre chambre, parce que tout ce que vous croyez possible et tout ce que vous croyez reconnu s’est devenu étrange, comme cette ville, comme vos livres, comme le travail que vous avez s’appellé votre vie. En même temps, la pensée que pour vous la poésie est un livre ou mur complète, et à cause de quoi? Est-ce que possible ce n’est pas possible que c’était toujours impossible est peut être possible après tout? Qu’est-ce que c’est que ça? Seulement le commencement de quelque chose, une autre ou l’autre, un visage, un voix, la possibilité et le promis d’un beau jour, quelque chose que ne dépend pas sur la mémoire, mais une réconnaître mutuelle d’un moment dans l’histoire plus en plus sérieux, plus en plus réel, et c’est à cause de votre connaissance de ce moment annoncé avec l’image-ombre de la bruit dans le silence que vous êtes vous-même devenir plus en plus silent, sans mots, à ce moment, les jeunes amantes dans l’apartement au-dessous leur conversation un homme qui parle et la femme ne parle pas bien que dans le son de sa rire c’est possible noter tout qu’elle ne dit pas, plus ou moins, ces voix vient par le système ou duct de chaleur, et ces voix, leur conversation, j’écoute comme j’écoute quand ils font l’amour. Ils font l’amour à tous les heures et le petit cris donner à moi le pensée que si, c’est possible que l’amour n’existe pas, que l’amour dans un mot et dans la vie est quelque chose inutile et incomplète sinon le verbe, faire. Pourquoi pour la plupart ce qui se passe entre l’un et l’autre n’est pas amour ni faire mais une pris ou mépris, une déception, ou même une expérience virtuelle: ici mais pas ici, loin et loin et à cause de, je crois, l’absence de mots, et est-ce qu’il y a dans l’histoire des amantes deux personnes entre quelles plus mots ont été passer au lieu de même la possibilité d’un deuxième baiser? Seulement ça, l’importance d’insister à l’mpossibilité de représenter plus qu’un baiser après tous, que le souffle appartient à les deux perspectives, parce qu’il y a pour chaque mur ou mural deux moyens, deux points de vue, parmi le bruit dans le silence des images. Dans l’image s’appellé La Limite je peux voir ces lèvres, et le sens de, quelque chose, qui appartient à l’ordre ou l’histoire anti-naturelle ou sur-naturelle dans le sens d’une impossibilité ou quelque chose en dehors de ce que représente une definition, aucune definition, n’importe le mot. L’import de mot? Si les mots n’ont pas aucune importance, pourquoi presque dix ans et dix mille mots. Est-ce que possible le pensée que cette année passée est le fin ou la culmination où le méthode de venir plus en plus l’un à l’autre devient le méthode d’étrangement? Le méthode, l’écriture, qu’est-ce que c’est ça pour le problème de l’un à l’autre, c’est le même chose, la difficulté et même l’impossibilité de cet ligne, La poèie se transforme le monde. La question de l’un à l’autre c’est une difficulté comme le rapport, ou manque de rapport, entre les mots et le monde où on se trouve les désastres comme la guerre que les mots le plus simple doit être donner au travail de penser et representer la réalité, et je ne peux pas dire pas écrire d’un autre
désastre que, à la prémonition ou je ne sais quoi, les mots éléctriques, ce que doit être un Savoir, le Savoir de la souffrance, que ce que je sais a fait l’apparaître de l’information, produit au printemps de l’année passée mots et mots plus de mots pleine de l’impossibilité de reconnaître ce que je ne veux pas connaître, en même temps que le choc d’avoir été donner le droit d’exister, est-ce que possible que le choc se mis à moi ou en moi le lieu où je suis venu comme une personne sans value? De même, ces mots brisés sont après-pensées, et ce n’est pas possible à exprimer le sens d’un erreur, ou deux chemins si séparé comme nos chemins à ce moment là, le printemps de l’année passée. Ou le sens de forces plus grandes que nous, une force sociale. Toujours je ne sais ce que je fais. J’imagine que pour vous tous les choses que vous disez et faisait sont le résultat d’un procès dans lequel existe une conscience où tous les aspects d’un problème sont, simplement sont. Je suis fatiguée. La semaine dernière il neige, et le ciel était gris, sans soleil, et je dors, je dors longtemps. Aujourd’hui, c’est le première fois que j’ai eu la volonté d’écrire, une réponse peut être au monde invisible, et même de la confusion, car je suis confus, les signes autour de moi comme de l’événément à New York, étrange. Ce que je pense est l’idée que ce qui existe et ce que je pense sont séparé par une fenêtre et ce que je vois et ce qui est là sont deux mondes tout à fait differentes. Jamais dans ma vie ce sens d’être en dehors des circonstances, la quotidienne, au même temps que je vois dans ma chambre l’espèce de patience, l’état d’attendre, une silence plein de bruit comme le fridge et les jeunes amantes. J’attendre. Ce n’est pas possible de rester ici plus de temps. Ce qui est le demain, l’avenir, je ne sais, mais est-ce que possible ce qui est possible? Je crois que la question est ouverte, à propos du problème s’appellé, que faire? Si on se trouve la politique dans la vie personelle, et une importance, une signification, existe dans la capacité de croire, contre tous les apparences, surtout dans l’Apparence de l’Apparence, que tous les mots mal et bon représentent ce que pour la plupart se passer en silence entre les amantes et leurs amis ou c’est possible que l’événéments de l’année passée, réal et imaginé, représente un événément singulière, un événément qui n’est pas peut être une histoire. Je ne suis pas d’accord. Ce qui s’est passé exist mais ce qui s’est passé n’existe pas: ce sont les mots, mais les mots ne contient pas la force de l’entre-mot, cette silence dans la conversation de l’un à l’autre où chaque mot fait l’apparence d’absorber le silence comme la terre le neige au fin de l’hiver. Une tasse. Tisane. Une tasse de café aujourd’hui pour le première fois depuis une semaine, une semaine vide, ce n’est pas possible aller à la ville où je vais chercher une autre fois pour vous, ou attendre, à la fête le mercredi dernière. J’attendre. J’attendre ici et j’attends l’heure que je départ ici, maintentant: quelle heure est-il? Il est une heure et une minute, Barbara.
*
serieux serièuse telegraph histoire adresse huit machine jour journal journaux certaine condition cinéma guide question signe civilisation possible nécessaire station nation condition democratie impartial potential ambitieux suggestion date amie ici ville facile difficile hôtel chose mot au aussi beau elle il est scène raison café téléphone cinéma donner note jeu cela ceci petit deux rue vue plume minute outil peuple neuf jeune auteur mieux soeur moi toi trois fois voici voilà histoire aujourd’hui huit oeust un d’un ample envelope temps chemin simple trente bien combien bon mon mot lundi quelq’un papier mieux travaille soleil meilleure billet fille famille cher chercher chose riche joli jour déjà age rouge origine ligne signe signal rouge frère par parler lettre nombre livre quatre table peuple simple homme force ordre
date exacte place message passage village central original chance distance patience certaine élément évident affaire addresse lac agréable confortable desagréable language mariage cercle idée tendance absolument anniversaire progrès succès curieux artiste effet côté école étudier espace lundi mardi mercredi jeudi vendredi samedi dimanche janvier fevrier mars avril mai juin juillet aout septembre octobre novembre decembre un deux trois quatre cinq sixe sept huit neuf dix bleu rouge jeune vert blanc noir brun marron gris nord sud ouest est le charme la classe considerable la différance l’élément bonjour bon soir bon nuit comment allez vous comment allez vous salut comment vas-tu comment vas-tu comment ça va ça va et vous et toi merci parler lentement parlez lentement s’il vous plait répétez s’il vous plait
je vous remercie j’attend de rien au demain à samedi à lundi à jeudi à ce soir à demain soir à la semaine prochaine à bien tot à toute à l’heure quel temp fait il? il fait froid il fait chaud il fait de vente il fait de soleil il pleut il neige avez vous as tu de l’eau de feu des allumettes de papier vous désirez donnez moi donnez moi la carte je voudrais du sucre aportez moi une tasse de thé de vin rouge la verre je donne tu donnes il donne elle donne nous donnons vous donnez elles donnent je ne donne pas tu ne donne pas il ne donne pas nous ne donnons pas ils ne donnent pas donner ne donne pas ne donnez pas je parle tu parles nous parlons vous parlez ils parlent elles parlent donnez-vous donnes-tu donnent-t-ils? donnon-nous? ne donnes-t-on pas? Oui, non. Est-ce que je donne? Donne-t-elle l’addresse est-il est-elle sont ils sont elles c’est c’est a moi c’est ici nous avons vous avez las amis deux amis les élèves pas encore.
après une heure venez ici allez-y un petit enfant je suis ici ils sont aller chez eux sans interêt ou est-il? pouvez-vous me dire où est le telephone? pouvez-me le dire où se trouve pouvez me le dire où se trouve ici là là-bas par ici
par là par là-bas c’est pas ici c’est pas là-bas c’est ici ce n’est pas ici ce n’est pas là il est ici venez ici restez ici attendez là allez par là qui est là mettez à droit à gauche à votre droit à votre gauche c’est à droit c’est à gauche tout près c’est tout près c’est tout près d’ici moi c’est loin est loin ce n’est pas loin c’est loin d’ici est-il à vas-t-il à il donne le livre à l’enfant un livre une lettre je parle à d’amis de jeune dans sur l’herbe l’amie l’heure le haricot le hero la haîne la chaîne le désir la lettre le système je suis tu es il est nous sommes vous êtes je ne suis pas tu n’es pas il n’est pas nous nous sommes pas vous n’êtes pas ils ne sont pas soyez soit tranquille soit l’heure il est ici elle est là ils sont ici elles sont là-bas je suis près allez prêt ils sont près elles sont prêt de la maison
les livres ne sont pas il est fatigué quelle heure est-il est-ce que je suis est-il sommes nous êtes vous sont ils où es tu où est elle où sommes nous où est mon livre où est ton livre ou est son livre ou est notre livres ou est votre livre où est ta lettre où est sa lettre où est votre lettre où sont ces livres où sont vos livres c’est bon ce n’est pas bon c’est bien ce n’est pas bien c’est mal ce n’est pas mal c’est petit ce n’est rien c’est difficile c’est facile c’est assez facile c’est plus facile c’est moins difficile c’est loin ce n’est pas très loin c’est près d’ici c’est assez c’est beaucoup c’est par ici c’est par là c’est pour moi c’est pour nous c’est pour vous c’est pour les enfants c’est cela il est ici est-il ici il est ici c’est vrai est-ce vrai où est il il est où où est c’est où est-il près il est près êtes vous prêt vous êtes prête elles sont prête vous venez avez vous de feu parlez vous vous parlez parlez vous le numero
nous avons vous avez ils sont je n’est pas tu n’es pas nous n’avons pas ils n’ont pas je n’ai rien j’ai assez as-tu avons nous ont-ils n’avez vous pas avez vous de papier avez vous des vous avez de n’avez vous pas qu’est-ce qu’il y a parce que je n’est pas de temps parce que je n’ai vous il a chaud avez-vous chaud vous avez raison elle a peur j’ai besoin
de j’ai besoin de cela il n’y a rien il n’y plus de cela il n’y a pas de réponse il n’y a aucune personne y-a-t-il de faim il n’y pas de personne ici il y a deux heures il y a onze heures il y a trois semaines il y a cinq mois il y a cinquante il y a longtemps il n’y a pas longtemps aussi moi aussi elle aussi nous aussi vous aussi eux aussi elles aussi ils vient aussi ils devient aussi moi aussi ils sont ils ne sont pas ce n’est pas venez aussi vite que possible je m’éxcuse éxcusez moi non je ne parle pas
je parle je ne parle je parle un peu je parle plus je parle quelque mots quelque mots cette semaine comprenez vous non je ne comprends pas je comprends un peu vous comprenez est-ce que vous comprenez pas de tout je comprends mal comment comprends tu parle lentement s’il vous parlez lentement voulez vous parler moins vite vous dites comment vous dites pardon plait-il comment dit on je vous remercie je vous en remercie de rien excusez moi vous permettez fêtes faites donc je vous en prie la joue liquide parle popular solide le thé le théatre ce matin cet après midi cet homme cette femme ce livre ici ce livre là je préfère si loin celle ci je préfère celui là celle là je préfère aussi ceci sans ici je préfère cela je préfère celan je préfère ce cela comme ça ça va ce n’est pas ça ce n’est pas ici pas trop pas trop vite pas assez pas souvent pas encore pas de tout je n’est pas de temps je ne sais pas comment rien je ne sais rien il n y a rien dit je n’ai rien jamais je ne le voir jamais qui est venu je ne vois personne je ne vais plus
vous n’avez qu’une heure n’est pas c’est vrai n’est pas ordinaire c’est moi c’est toi c’est lui c’est elle c’est nous c’est vous ce sont nous ce sont elles lui il est sont là toi vois ce la nôtre c’est la sienne c’est la vôtre la malheure est mal heure c’est la sienne ne parle de toi il parle de moi il ne fait pour vous il pense à vous il le fait pour vous il ne comprend je vous comprends tu ne comprends il ne me donne il ne te donne il ne lui donne montez moi ça
montrez nous ça montrez la ça je me lave tu te laves il se lave elle se lave elles se lavent nous nous lavons elles se lavent ils se lavent je me rappelle je me tourne je m’amuse l’avez vous laves-toi amusez-vous je ne suis un chapeau absolu là-bas comment allez vous comment ça va comme ci comme ça et vous et toi pas mal pas mal pas mal de tout ça va ça va et vous comme ci comme ça rien de nouveau telephonez moi un séjour à la prochaine fois à tout à l’heure à lundi à plus tard à demain je vous vais voir à huit heure de soir je vous est-ce que vous connaissez mes amis?
non je ne connais pas personne bien sur de connaissance je vous présent permettez moi de vous présenter je suis heureuse de faire votre connaissance j’espère moi aussi c’est ça vous avez mon address non donnez le moi mon numéro est de votre notre je vous vais écrire vous pouvez ensuite entendu je ne crois pas donnez moi à bien tot la conclusion la condition la consideration la décision la personne la femme le signal un deux trois quatre cinq sixe sept huit neuf dix onze deux tres quatorze quinze seize dix-sept dix-huit dix-neuf vingt vingt-et un trente trente et un trente deux trente trois quarante et un quarante deux cinquante cinquante et un cinquante deux cinquante trois soixante et un soixante deux soixante trois soixante et onze soixante douze soixante tres quatre vingt un quatre vingt trois quatre vingt onze quatre vingt tres cent cent un cent deux cent trois mille mille un mille deux mille trois san fin deux sans quarante sans cinquante sans soixante sans soixante dix sans soixante et onze sans quatre vingt san quatre dix huit sans quatre vignt neuf deux cents sans le soixante quinze
deux heure trois jours trois enfants quatre garçons cinq kilometre six autres sept chiens huit semaines huit heures neuf mois neuve ans dix ans vingt hommes deux plus ans que trois essayez donc cinquante mon numéro a été changer le numéro est a ete vous etes dites ils habitent au
numéro cet adresse nous habitons le numéro de je suis ne en mille neuf cent j’étais en l’avance le chapître quelle heure est-il il est deux heures il est trois heures il est quatre heures il est sept heures il est huit heures il est neuve heures il est midi il est après-midi il est quatorze heures il est quinze heures il est quatre heures de l’après-midi il est dix sept heures il est dix-huit heures il est dix-neuf heures il est vingt heures il est vingt et un heures il est vin des heures il est vingt trois heures il est minuit il est huit heures de matin il est neuve heures de matin il est deux heures quinze il est quatre heures il est trois heure quarante cinq il est deuz heures trente il est cinq heures trente cinq il est midi il est midi cinq il est presque onze heures il est plus de cinq heures
à quelle heures est venu nous nous verrons venez à cette nuit la cause la conviction la distance l’effet l’instant obscur la qualité il attend il attend de le faire il attend j’ai le temps je n’ai pas le temps de puis combiens
for Simone de Beauvoir
Imagine having a silent life . . .
Bernadine and her. Safronya Jones
gave up baby Naomi. Tasha got a job.
Along came André. Her and him
lived over the record store. Bernadine
took baby Brandon. Naomi had a touch of jealousy.
Autre connaissance. Je suis heureuse de faire
votre connaissance. Mon copain. Retrouvons-nous
un séjour. Argue. Rue. Argrue. Le fin.
La condition. Ne personne. Pas de personne.
Aucune personne. Un. Deux. A good note.
Fatima Husam’Adeen. If he our she they are.
Ups and downs to me are. Emotions flare.
There’s those points. Il est cinq heures de l’après-midi.
Il est huit heures de soir. Get me wrong.
Don’t get me wrong. Elle est venu à trois heures.
Il est temps de le faire. Il est temps de partir.
Dans un moment. Ce matin. Il est longtemps.
Tons of fun down there. You name it.
Things are made to be the way they are.
How it came to be and how it is now.
Que voulez-vous dire. Que cherchez vous.
Qu’est-ce que c’est. Qu’est-ce qu’il y a.
Qu’est-ce que s’est passé and me becoming distant far.
Loin, si loin. Je n’en ai pas. Everything
under the sun and some. J’éspère que non.
En même temps ce n’est pas le même.
“Went three weeks” for three weeks passed by.
If ever two people were on the same page
at the same time. Faim. Quel faim. That
could not have got any worse. De quoi parlez-vous?
Que cherchez-vous? Qui est-ce que vous
cherchez? A quoi pensez-vous? De quoi avez-vous
besoin? Pourquoi? Comment? Mais comment?
Every year there are some new people
that go or people who have gone other years.
And of the of the. Ou se trouve. Attendez
un instant. On ne repond pas.
C’est moi. Off ledges into us off of it.
Go down them is the one they go down.
In the one they go down. At Madagans.
It’s some many things to talk about. So many.
It don’t think it has to be said. It woes.
I ate some sugar cane and curried chicken with rice.
Maybe you won’t be able to talk to anyone at all.
Rang. Row. De Glasgow. Morning Star [Press].
Est-ce qu’il pleut? Can you spot those that do not vary.
Si vous le me permettez. Say what they like.
The ‘e’ as in “free” doesn’t rhyme exactly.
Demonstrative moi, toi, lui, elle. C’est pour elle.
C’est pour moi. Practice talking about the time.
Try as far as possible to rely on your ear, not your eyes.
Mes yeux. Huit heures moins cinq. Let’s
listen to the rest of this. Another of those sounds
that exist. Quand. Avant. Rendre. Saturday
at 22:55. Every Thursday at 19:30. Intentions and wishes.
Je vais plus infinitive. On, nous. C’est la même chose.
Quelque jour. Listening again. Nous allons
au construir. Practice possessives and the vocabulary
belonging to the family. Qu’est-ce que vous
allez faire maintenant. Avec des yeux bleues.
Je. Seulement. Plus souvent. Today you took the 8:15.
En face. En place. Je termine au soixante trente.
Now make your excuses, following the model.
Elle vient sortir. Elle est avec ses amis.
Practice explaining what is wrong if you are ill or hurt.
Let’s just check what you’ve remembered.
Go to sleep straight away. Je me lève souvent
prèsque trois heures du matin. Hier soir.
C’est quand même je crois que c’est true or false.
Talking about a place and it’s past and the passive
form of verbs. Une personne seulement.
Et quand vous dites romantique. D’autres images?
Beau magasin le musée vous voyez trois jours
c’est difficile à faire. Simone is asking them.
On se promenait . . . on m’a dit . . . on me demander . . .
Ce n’est pas possible. Quatre vingt dix.
Je me rapelle rien. Deux heures pour faire
maintenant avec la voiture toute à l’heure
c’est tout plus long prisonier vous êtes d’accord?
Remove the final consonant to produce the masculine.
How many grammar rules can you think of.
The future of conditional tenses. Ne quittez pas.
La prochaine. Attendez. Le mercredi le matin
trois heures? Ask if she’ll be free on Friday.
Vous avez le temps de prendre une tasse de.
Avec moi. Peut-être une autre fois. Either give a reason
for refusing or simply say that you cannot.
Auvergne. Listen in particular to the way
instructions are given. Alors c’est toi qu’il y a le faire.
Tiens. Now you can use the imperative form.
Be deliberately indecisive. Prends les on.
We’re still in the garden in Auvergne. Madelaine
in particular is attracted to him. Mais est-ce que
tu en même temps à la fin de l’été d’écrire
comme ça. Allez y et aller. Ne veux jamais.
Ce modèle là. He has been given as a present.
Elle ne connait pas l’une. Go through a whole range
of emotions. Faites-moi une proposition.
J’ai peur qu’il n’y a pas certain. Il y une semaine.
Indirect speech introduced by phrases
alors qu’est-ce qu’un veut dire un peu plus loin
la prisonnière est-ce qu’il y a une autre
chose maintenant ce n’est pas possible.
Opinions and thoughts and future intentions.
Je vais vous dire que je vais parler que je me rappeller
la semaine prochaine avec elle the “e” sound
as in demander. As you listen to this radio.
When the expressions were used to introduce
opinions. Je trouve que. What allows you
to talk about something you would really like to do.
How do you say you have no wish to restore it.
Chaque semaine moins convainçu. Au Chine. Au
Japon. Et lendemain la reste de gagner. Some statements
are more conditional than others. It may happen.
But it didn’t. So I didn’t. If he writes. I’ll telephone.
If he wrote, I will telephone. If he had written,
I would have telephoned. S’il écrit, je téléphonerais.
S’il écrivait, je téléphonerais. S’il avait écrit,
je l’aurais téléphonera. Il entre. Alors, ça va?
Et toi? Moi? Tu vas bien, non? Qu’est-ce que
tu fais? J’attends. J’attends toujours. Elle s’approche
le demain dimanche. Je reviens. Jamais. N’est
pas possible. En fin. L’escalier. Quelle heure est-il?
A bien tôt, j’éspère. Qu’elle heure est-il? Elle
est près d’ici?
